jeudi 3 décembre 2009

Diu - Playa et repos

Ça fait maintenant 2 jours que je suis à Diu, enfin 3 si on compte aujourd'hui, journée passée au lit. Hier soir j'ai voulu tester le poisson au restaurant, il avait pourtant l'air frais ce poisson, d'ailleurs il était bon, mais mon estomac n'a pas apprécié, et rebelote, maux de tête et tout ce qui va avec... Si tout se passe bien demain je devrais être à nouveau sur pieds, j'en profiterai pour retourner à la plage.

Des plages, ce n'est pas ce qui manque ici : Diu est une presqu'ile, capturée par les Portugais au 16ème siècle, cédée peu après à ces derniers par le Sultan du Gujarat, et enfin réintégrée à l'Inde à partir de 1961. Du coup ici tous les restaurants et les hôtels ont des noms portugais, j'ai d'ailleurs rencontré des Indiens qui ne voulaient pas démordre qu'ils étaient Portugais... Les maisons sont basses, la petite ville est charmante mais il faut reconnaître qu'à part se promener le long des plages et manger, il n'y a pas grand chose à faire. Les Portugais ont tout de même laissé quelques églises et des remparts, partiellement en ruines. Les rues sont très calmes, peu de circulation, et on voit à l'état des routes et des demeures que l'endroit est riche. Étonnamment peu de touristes, encore une fois.

Il va sans dire qu'il fait toujours aussi beau, la température avoisine les 32° en milieu d'après-midi. Les restaurants et les magasins ferment pendant les heures les plus chaudes de la journée. Je vais rester encore deux nuits ici le temps de me remettre, et je continuerai mon tour du Gujarat en enchaînant sur une réserve naturelle non loin de Diu, à l'intérieur des terres, espérant enfin le voir, ce tigre ! En attendant, ma mission de ce soir, arriver à manger un truc !

2 commentaires:

  1. Je trouve que tu deviens ambitieux!!!! Vouloir réussir à manger!!!!!
    Bisous et remets toi!

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  2. Beaucoup de plages, peu de baigneurs, et des indiens portugais à foison. A peine quelques traces de ruines de souvenirs d'antan. C'est aussi ça le tourisme intégral. Le repos, quoi. sauf celui d'un estomac rebelle au festin local.
    Bisous tendres des
    GM-GP.

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